Vie chrétienne

La prière, souffle vital du chrétien

Le thème de la prière est un des plus courants de la Bible (j’ai compté au moins 600 mentions). Elle est une pratique courante en christianisme, ainsi que dans d’autres religions, et est même parfois pratiquées par des personnes sans pratique religieuse particulière. Le terme de « prière » est aussi devenu une sorte de mot-valise dans lequel on met tout ce qui relève de la spiritualité intérieure. Je propose ici d’aborder le sujet de la prière en trois étapes, d’un point de vue chrétien, en adressant les questions Qu’est-ce que la prière ? Que peut contenir la prière ? Comment prier ?

Qu’est-ce que la prière ?

Comme je l’ai mentionné dans l’introduction, le thème de la prière est extrêmement présent dans la Bible, et la traverse de bout en bout. Elle est un des éléments structurants de la vie du Christ, et est pratiquée par les apôtres. En de nombreux endroits nous trouvons des exhortations et des instructions concernant la prière. Le Christ exhorte à la prière, « veillez et priez » (Mt 13:33), Paul aussi appelle ses lecteurs en écrivant « priez sans cesse » (1 Thess 5:17). Pourquoi donc une telle insistance sur la prière ? La prière est ce qui nous permet de rester spirituellement vivants. De la même manière qu’un humain ne peut pas vivre si ses parents ne lui parlent pas et ne lui témoignent pas leur amour – des expériences ont malheureusement été menées en la matière – nous ne pouvons pas être spirituellement vivants si nous ne parlons pas avec notre Père et si nous ne recevons pas Son amour. Et la prière est le moyen privilégié pour parler et recevoir cet amour. Si nous ne parlons pas avec notre Dieu, alors nous mourrons spirituellement. « Je vis grâce au Père » (Jean 6:57) dit Jésus. C’est par la prière que nous sommes vivants.

Nous le savons en effet : la création tout entière gémit maintenant encore dans les douleurs de l’enfantement. Elle n’est pas la seule : nous aussi, qui possédons les prémices de l’Esprit, nous gémissons intérieurement, attendant l’adoption, la délivrance pour notre corps. Car nous avons été sauvés, mais c’est en espérance. Or, voir ce qu’on espère n’est plus espérer : ce que l’on voit, comment l’espérer encore ? Mais espérer ce que nous ne voyons pas, c’est l’attendre avec persévérance. De même, l’Esprit aussi vient en aide à notre faiblesse, car nous ne savons pas prier comme il faut, mais l’Esprit lui-même intercède pour nous en gémissements inexprimables, et celui qui scrute les cœurs sait quelle est l’intention de l’Esprit : c’est selon Dieu en effet que l’Esprit intercède pour les saints.
Romains 8:22-27

Paul nous parle dans ce passage de l’attente dans laquelle nous sommes, l’attente d’advenir à une vie plus grande et plus complète que l’actuelle, que notre vie terrestre, à laquelle nous pourrons accéder lors du retour du Christ, quand nous serons réunis avec le Père dans le Royaume. Pour nous aider dans cette attente, Dieu nous fait don de son Esprit Saint, qui constitue en quelque sorte le cordon ombilical nous reliant au Père et par lequel peut passer la prière. C’est aussi cet Esprit qui prie en nous, qui nous guide dans notre prière. Sans l’Esprit Saint, notre prière n’est qu’un monologue vide, une sorte de soliloquie. Ce serait comme parler dans un téléphone qui n’est pas relié au réseau, ou envoyer un mail sans être connecté au WiFi. La prière est le moyen privilégié par lequel nous pouvons être en communication et nous retrouver en communion avec Dieu le Père.

Que peut contenir la prière ?

La prière peut se décliner sous différentes formes. Si nous pensons au déroulement du culte, par exemple, il est facile d’en identifier un certain nombre. Au début du culte se trouve la prière d’invocation généralement, suivie de la prière de louange. Un prière de repentance peut parfois trouver sa place. Avant les lectures, une prière d’illumination est généralement dite, etc. Il est possible d’en faire une longue liste, et de regrouper des mêmes prières dans diverses catégories générales. Nicky Gumbel propose l’acronyme A.C.T.E.S. pour mentionner les principaux types de prière.

Adoration
Confession des péchés
Témoignage de reconnaissance (dire merci)
Ecoute de Dieu
Supplication

Suivant où l’on regarde, on trouvera de multiples manières d’articuler et de formuler ces différents types de prière. Un des types de prière les plus courants et vers lequel nous nous tournons le plus naturellement est la prière de demande, qui trouve sa place sous « supplication » dans le schéma ci-dessus. En effet, c’est lorsque l’on se trouve dans une situation de crise, de manque profond ou d’impuissance que l’on se tourne le plus facilement vers Dieu, que l’on soit croyant ou non, pour lui demander son aide, et pour laquelle on attend le plus une réponse. On a ainsi tendance à parfois limiter la prière à cette seule forme, et les principales remises en question de la pertinence de la prière sont adressées à la prière de demande. Je souhaite répondre à deux mises en doutes communes de la prière.

La première est : Si Dieu nous connaît, est bon, et sait de quoi nous avons besoin, pourquoi avoir à le lui demander ? Dieu est un Dieu relationnel avant tout, il cherche à être en relation avec sa création et les hommes, car ce n’est que dans la relation que l’amour peut exister. Adresser des prières à Dieu demande de le chercher, de chercher à le connaître, et est un des lieux où nous pouvons être actifs dans notre relation avec Dieu, et de prendre part à son oeuvre et son Royaume. Par ailleurs, si une chose nous est donnée sans que nous ayons eu à la demander, nous la considérerons comme étant normale, comme étant un dû. Si Dieu nous met dans des situations de manque, c’est pour nous amener dans la prière, et pour que nous les recevions avec humilité et reconnaissance.

La seconde est : Est-ce que Dieu écoute et exauce réellement nos prières ? Il faut ici différencier clairement l’écoute de l’exaucement. Oui, il écoute toutes les prières. Mais non, toutes ne sont pas exaucées, et heureusement. Difficile en effet d’exaucer en même temps les supporters du Lausanne HC et du Genève Servette lors d’un derby lémanique, il y aura forcément des déçus d’un côté ou de l’autre. Blague à part, il est important lorsque nous prions d’être aussi prêts à entendre et accepter le « non » de Dieu quand il est prononcé.

Dans quels cas le « non » de Dieu se fait-il entendre ?

Le Christ lui-même a vécu le « non » de Dieu. Quand il prie à Gethsémané, il dit : « Mon Père, s’il est possible, que cette coupe s’ éloigne de moi! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux. » (Mt 26:39) Nous connaissons la suite de l’histoire, son Père a dit « non » à cette prière, ce que Jésus a accepté avec humilité et s’est soumis à la volonté de son Père.
Dans nos vies, nos expérimentons le « non » divin quand notre prière, notre demande, n’est pas en adéquation avec Dieu. Mais ce n’est ici qu’un symptôme dont on peut retracer l’origine à une situation de déconnexion, de non-communion avec Dieu, qui est elle-même une des conséquences du péché. D’où l’importance d’être aidés par le Saint Esprit, comme mentionné plus haut, et d’être dans une posture d’humilité. Autrement, ce sont nos propres aspirations, nos propres désirs charnels qui s’expriment dans la prière. Imaginez un enfant qui souhaite jouer avec l’arme de service de son père. Son père sait que cela est dangereux pour lui et il se doit de dire « non » à cette demande.

Vous désirez et vous ne possédez pas; vous êtes meurtriers et jaloux, et vous ne pouvez rien obtenir; vous avez des luttes et des conflits. Vous ne possédez pas parce que vous ne demandez pas. Quand vous demandez, vous ne recevez pas parce que vous demandez mal, dans le but de satisfaire vos passions
Jacques 4:2-3

Une question à se poser au moment de demander quelque chose dans la prière peut être : Qui est-ce que je cherche à satisfaire par ma demande ? Est-ce le Seigneur ou est-ce mon ego ?
Dans tous les cas, il est important de rappeler que Dieu exauce les prières malgré le péché de celui qui prie. C’est là toute l’oeuvre du Saint-Esprit en nous, et toute l’oeuvre d’intercession du Christ auprès du Père. « Lui qui n’a pas épargné son propre Fils mais l’a donné pour nous tous, comment ne nous accorderait- il pas aussi tout avec lui? Qui accusera ceux que Dieu a choisis? C’est Dieu qui les déclare justes! Qui les condamnera? [Jésus-] Christ est mort, bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu et il intercède pour nous. » (Romains 8:32-34)

Il est aussi possible de ne pas être en mesure de voir le « oui » de Dieu, sans qu’il s’agisse pour autant d’un « non ». Il arrive qu’une prière soit exaucées mais dans un lieu et un temps éloigné de nous, de manière à ce que nous ne soyons pas en mesure d’en être témoin, soit pas immédiatement, et parfois même jamais. Il s’agit d’une manière de nous protéger de tout orgueil, afin que nous évitions de penser que l’on prie mieux que d’autres. Peut-être qu’il nous sera donné plus tard de savoir que notre prière d’il y a quelques mois ou quelques années a été entendue et exaucée, peut-être jamais.

La prière est efficace

Quelqu’un parmi vous est- il dans la souffrance? Qu’il prie. Quelqu’un est- il dans la joie? Qu’il chante des cantiques. Quelqu’un parmi vous est- il malade? Qu’il appelle les anciens de l’Eglise et que les anciens prient pour lui en lui appliquant de l’huile au nom du Seigneur. La prière de la foi sauvera le malade et le Seigneur le relèvera. S’il a commis des péchés, le pardon lui sera accordé.
Avouez- vous vos fautes les uns aux autres et priez les uns pour les autres afin d’être guéris. La prière du juste agit avec une grande force
Jacques 5:13-16

Jacques mentionne trois situations de prière: la souffrance, la joie et la maladie. Cela peut paraître anodin, mais ces trois cas correspondent à l’anthropologie tripartite, relativement courante dans la Bible, où l’humain est corps, âme et esprit. La souffrance touche à l’âme, la joie à l’esprit, et la maladie au corps. Jacques indique ici que toutes les dimensions de l’homme sont des sujets de prière pertinents, aussi bien quand cela va mal que quand cela va bien. Il affirme également l’efficacité de la prière. « La prière de la foi sauvera le malade », « La prière du juste agit avec une grande force ». L’élément important est celui de la foi qui est mise dans la prière, à savoir la confiance que l’on met dans notre prière d’être entendus par Dieu et exaucés. Nous retrouvons cette même idée en d’autres passages, « Tout ce que vous demanderez avec foi par la prière, vous le recevrez » (Mt 21:22).

Nous avons déjà mentionné le rôle essentiel du Saint Esprit dans la prière. Le Saint Esprit produit en nous la foi (« Mais le fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bienveillance, la foi, la douceur, la maîtrise de soi » – Galates 5:22), et c’est cette foi-là que nous sommes appelés à mobiliser dans notre prière. De la même manière que Dieu peut voir au-delà de notre péché pour entendre et accéder à nos prières, il peut aussi voir au-delà d’un éventuel manque de foi que l’on pourrait expérimenter.

Comment prier ?

Tout comme il y a différents types de prière, il y a différentes façons de prier. La posture du corps est l’une des premières à prendre en considération. Rien que cette question mériterait d’être traitée plus en profondeur, mais je tâcherai de mentionner quelques éléments essentiels. Une observation intéressante à faire est que l’une des postures les plus habituelles en milieu réformés est également une des seules à ne jamais être mentionnée dans la Bible, il s’agit de la position assise. On trouve par contre plusieurs autres postures du corps pour prier, associées à différentes attitudes.

  • Debout : C’est la position la plus courante
  • Prosterné : Posture pour l’adoration
  • A genoux : Posture d’humilité
  • Couché face contre terre : Posture de soumission, mais aussi un moyen de se protéger (Il est impossible de voir Dieu face-à-face dans l’Ancien Testament, au risque de mourir)

Selon les assemblées différentes manières d’utiliser son corps sont employées dans la prière. Ces postures sont des aides à la prière, où notre corps exprime extérieurement ce qui se passe intérieurement en nous. Prendre le temps de réfléchir à quelle sera la meilleure position pour nous aider à vivre ce que nous souhaitons vivre dans un temps de prière peut considérablement contribuer à la qualité de ce moment.

La prière communautaire

La dimension communautaire de la prière a déjà été évoquée, mais elle mérite d’être adressée de manière particulière, Jésus lui-même insistait là-dessus et la prière communautaire faisait partie intégrante de la vie des apôtres.

Je vous dis encore que si deux d’entre vous s’accordent sur la terre pour demander quoi que ce soit, cela leur sera accordé par mon Père céleste. En effet, là où deux ou trois sont rassemblés en mon nom, je suis au milieu d’eux
Matthieu 18:19-20

Plus que le simple fait de se rassembler pour prier, c’est l’accord dans la prière qui est recherché. Le fait de s’accorder dans la prière permet non seulement de solidifier les relations entre les personnes qui forment le corps du Christ, mais de manière plus pragmatique, permet aussi d’éviter les dérives dans la prière. Si deux personnes s’accordent pour demander quelque chose dans la prière, c’est qu’ils ont le même discernement. Bien entendu, il peut arriver qu’on ait un mauvais discernement, d’où l’importance du « là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis au milieu d’eux ». On ne peut pas exclure de se retrouver à plusieurs dans la même erreur, mais cela permet de poser quelques garde-fous.

Vous pourriez me rétorquer que Jésus appelle également à prier dans le secret, et vous auriez raison.

Lorsque tu pries, ne sois pas comme les hypocrites:ils aiment prier debout dans les synagogues et aux coins des rues pour être vus des hommes. Je vous le dis en vérité, ils ont leur récompense. Mais toi, quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme ta porte et prie ton Père qui est là dans le lieu secret; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra
Matthieu 6:5-6

La prière personnelle et individuelle est également importante. Et dans tous les cas, il est important de ne pas prier de manière à bien se faire voir, à se mettre soi-même en avant, mais dans la prière il s’agit de se mettre en recherche de Dieu, qui se trouve « dans le lieu secret », qui n’est pas à la vue de tous. Il y a une dimension d’intimité. Cette intimité doit aussi être recherchée dans la prière communautaire, et dans la prière communautaire elle-même il est important de veiller à ne pas prier pour impressionner les autres personnes présentent, ce n’est pas un concours de prière ou de belles formulations. En effet, comme le livre de l’Ecclésiaste le dit :

Ne t’empresse pas d’ouvrir la bouche! Que ton cœur ne se précipite pas pour exprimer une parole devant Dieu! En effet, Dieu est au ciel, et toi sur la terre. Que tes paroles soient donc peu nombreuses! Oui, les rêves surgissent dans un flot d’occupations, et la voix de l’homme stupide dans un flot de paroles
Ecclesiaste 5:1-2

Si l’on regarde de plus près le Notre Père, paradigme de la prière chrétienne, on remarque qu’elle est composée d’une succession de mini-intentions de prières, longues d’une ou deux phrases. Jésus ne s’étale pas en long et en large avec des formules compliquées. Certaines prières dites lors du culte présentent ce problème d’être trop compliquées. Certes, leur auteur a voulu exprimer de belles choses, en utilisant de beaux mots et de belles structures grammaticales et a certainement passé pas mal de temps à les penser et les rédiger. Mais elles demandent un tel effort de réflexion pour être comprises, qu’elles deviennent impossibles à prier. Ce n’est pas la richesse du vocabulaire ou la complexité de la structure grammaticale de notre prière qui en fait sa valeur, c’est son inspiration.

La prière à voix haute

Il est parfois difficile de se décider à prier à voix haute, et les premières tentatives ne sont pas toujours très adroites. Mais comme je l’ai écrit juste avant, ce n’est pas ça qui détermine la valeur de la prière. Il peut être utile d’être conscient des différents bénéfices de la prière à voix haute afin de savoir dans quels buts on va se mettre à s’exercer à cette pratique. Il n’est pas tellement question de prière silencieuse dans la Bible, à l’exception de 1 Samuel 1:

Anne parlait dans son cœur et ne faisait que remuer les lèvres, on n’entendait pas sa voix. Eli pensa qu’elle était ivre, et il lui dit:«Jusqu’à quand seras- tu ivre? Va cuver ton vin. » Anne répondit:«Ce n’est pas cela, mon seigneur. Je suis une femme à l’esprit abattu, je n’ai bu ni vin ni boisson enivrante, mais j’épanchais mon cœur devant l’Eternel.
1 Samuel 1:13-15

On pourra certes rire du fait qu’Eli suppose qu’Anne est saoûle. Mais il est plus intéressant de noter que même si elle prie en silence, elle fait néanmoins l’effort de formuler sa prière avec des mots, des phrases, etc. La prière explicitement formulée présente plusieurs avantages.

– Cela permet de prier de manière plus précise, et plus consciente de ce que l’on demande et pourquoi. Cela nous évite également de trop vite nous égarer, et de nous retrouver à faire notre liste de course sans trop savoir comment on en est arrivés là.

– Cela nous permet de rester dans la prière, et de ne pas verser dans la méditation. Bien que la méditation soit également importante, il ne faut pas la confondre avec la prière. La prière s’adresse à Dieu à la seconde personne, alors que la méditation pense à Dieu à la troisième personne.

– Dans le cadre de la prière communautaire, elle permet d’associer d’autres personnes à notre prière, qui peuvent la faire leurs. Ils pourront aussi ajouter quelque chose selon leur discernement propre. Cela permet également d’affirmer et de proclamer certaines vérités devant les hommes, et de participer à l’édification de la communauté rassemblée. Quand on commence sa prière en s’adresse à « Dieu notre Père », nous disons déjà beaucoup de choses qui ne sont pas nécessairement claires pour tout le monde. De là pourra surgir une discussion salutaire pour l’une ou l’autre personne.

–Toujours dans le cadre de la prière communautaire, cela peut également permettre ce que l’on pourrait qualifier de « correction fraternelle ». La prière d’un membre du groupe peut être révélatrice d’éventuelles difficultés que pourrait avoir la personne en train de prier. Conscients de cela et avec le discernement de l’Esprit, on peut alors aider cette personne-là à cheminer vers une relation plus proche de Dieu et plus joyeuse.

Conclusion

La question de la prière est un très vaste sujet, qui possède de multiples facettes et touche à de nombreux aspects de la vie chrétienne. J’ai essayé ici d’en offrir un survol, et de mettre en évidence les principaux éléments. Chaque point pourrait être développé plus en détails, mais c’est à toi, cher lecteur, d’aller approfondir l’un ou l’autre de ceux-ci, selon tes envies. Je met ci-dessous quelques références que j’ai utilisé pour cet article. Le livre de Nicky Gumbel est celui du parcours Alpha, offre un aperçu des grandes questions de la vie chrétienne et un chapitre est consacré à la prière. Celui de Gilles Boucommont traite principalement de l’accompagnement pastoral, et aborde en divers endroits des questions relatives à la prière. Celui qui souhaite un livre dirigé clairement sur la prière préférera alors celui de Blackaby.


– Gilles Boucomont, « Au nom de Jésus. Libérer le corps, l’âme, l’esprit », Paris, Editions Première Partie, 2010.
– Norman et Henry Blackaby, « Prier comme Jésus », Genève, Maison de la Bible, 2009.
– Nicky Gumbel, « Les questions de la vie. Une introduction à la foi chrétienne », Cours Alpha France, 2006.

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Pasteur dans l'EPG, je partage ici diverses réflexions, prédications et expériences, en espérant créer la discussion afin que nous puissions nous enrichir mutuellement.