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A la poursuite de la sainteté
Les mots d'Esaïe s'adressent à un peuple exilé, épuisé, chancelant. Dans leur malheur, ils sont habités par un désir de vengeance et de rétribution. Mais sans force, aussi bien le désir de vengeance que celui de pouvoir rentrer à la maison ne sont qu'illusions. Leur seul espoir se trouve en Dieu.
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Sion, la cité de nos rencontres
Face à l'inadéquation de l'être humain et son incapacité à gouverner avec droiture, Esaïe proclame toutes les bénédictions qui vont avec le Règne de Dieu. Non seulement sa capacité à adresser les problèmes auxquels l'humanité fait face, mais son désir de nous relever.
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Face à l'(in)justice
Nous vivons dans l'attente du retour du Roi qui "règnera selon la justice". Déjà Esaïe annonce ce Royaume que Jésus a inauguré dans le double événement de Noël (sa venue) et de Pâques (son couronnement). Mais le prophète met en garde contre une attitude complaisante. Le fait que le Royaume vienne ne doit pas être une excuse pour détourner le regard face au mal.
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De quel droit ?
Le Sanhédrin, cherchant une excuse pour le faire mourir, lui pose alors cette question : « De quel droit fais-tu cela ? » Jésus répond par une question en leur demandant si, selon eux, le baptême de Jean venait du ciel ou des hommes.
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La prière qui libère
Dans notre méditation de la Parole, il peut nous arriver de tomber sur une parole du Christ ou sur une mise en garde qui peut nous sembler dure pour nous-mêmes. Il peut alors nous arriver de choisir de l’ignorer, tout simplement parce que c’est plus facile ainsi.